Nous sommes encore en train de tourner les pages de "Cabriolets d'hier et d'aujourd'hui" de Jean-Paul Thévenet et Peter Vann aux éditions EPA, à nous demander s'il s'agit d'une BMW 507 Touring Sport Roadster de 1956 ou une Ferrari 365 GTS/4 Spider de 1972 ou d'un autre modèle. Les premières perdront leur mauvaise conscience, le malaise absurde d'être un peu responsables du pire qu'elles ont subi seulement quand les seconds seront clairement déclarés coupables. Cela n'empêche pas d'être sincère. Commentaires (54), "Oui nous sommes en danger, oui les noirs sont en danger, oui les arabes sont en danger, oui les personnes issues de l'immigration sont aussi en danger(...), meurent sous les violences et les coups de cette police...". À supposer qu'il réfléchisse quand il lit, il ne faut pas l'accabler d'idées, une idée, savoir qu'il usurpe l'autorité, une idée, c'est déjà beaucoup pour lui, vous ne trouvez pas ? Comprenne qui pourra. Cette attitude est scandaleuse. J'aurais aimé finir sur cette phrase et aurais du mal à trouver une autre coda aussi satisfaisante. Le hasard m'a entraîné vers le Royaume-Uni alors que j'aurais pu prendre des exemples similaires dans notre pays qui se soumet de plus en plus à une influence américaine charriant absurdités, censures et interdictions. Ce travers est généralement le fait de ceux qui reprochent aux procureurs leurs initiatives procédurales à l'égard des politiques comme si elles résultaient d'un dessein préétabli et partial de leur part alors qu'elles sont la conséquence d'éléments qui leur ont été communiqués et qui appellent vérifications, enquêtes ou informations. Le match terminé, je redeviendrais républicain. "J'ai une grande théorie sur la gratuité de l'écrit" qui selon M'sieur Morales est un problème semble-t-il. | radio SAW spielt die Superhits fürs SAW-Land und ist der private Lieblingssender im Osten! Il a raison de le faire. Avec de tels critères, les plateaux pourraient devenir des déserts et les débats des monologues. Commentaires (157). Avant d'approfondir ce point, je voudrais rappeler quelques données tenant à la surabondance des paroles libérées aujourd'hui. Ma première voiture était une Morris 1000 cc jaune moutarde avec un toit ouvrant, un tableau de bord en bois vernis et une suspension inexistante comme sur toutes les Mini de l'époque révolue de la séparation des Beatles. L'actuelle est sans doute plus intéressante car lourdes d'incertitudes, c'est cela qui en fait le sel ! Ce sont des délires mais personne ne bronche. Bruno Gaccio, Philippe Bilger: Le Guignol et le Magistrat. Combattre, oui, mais nous ne combattons, dans tous les cas, que des Français. Je relève qu'on ne s'est pas orienté vers un partage opératoire et précautionneux entre les personnes âgées et vulnérables d'une part et de l'autre le pays actif, jeune, en pleine force, résistant, qui n'en peut plus de mourir économiquement et psychologiquement à petit feu. Je témoigne que dans les débats médiatiques on se retrouve confronté parfois au même constat. Puisque le monsieur aime les voitures, c'est aussi les dernières décennies où celles-ci étaient reconnaissables d'emblée à leur carrosserie et n'arrivaient pas à démarrer le matin quand il faisait froid. Mais que va-t-on faire de ces nombreux Français qui vont voter pour le RN ? Je ne suis pas convaincu mais je voudrais placer le débat sur un autre terrain. Le second y débat, chaque dimanche soir, face à Luc Ferry dans l'émission "En toute franchise" d'Amélie Carrouër. | | Ça, c'est une proportion ! xavier b. masset | Comme nous n'avons pas de masques, on nous dit initialement qu'ils ne sont pas nécessaires. Elle a tout le charme des pâtes carbonara accommodées comme il faut, et le carburant qui va avec, pommettes rosées garanties si abus, c'est tellement agréable d'abuser parfois. Bonheur de pouvoir mettre enfin une pierre positive dans la politique judiciaire d'Emmanuel Macron ! Wilfrid Druais | Pour les secondes, j'approuve en particulier son souhait partagé par certains de voir divisé le corps judiciaire en deux structures, Siège et du Parquet, celle qui juge et celle qui poursuit. Commentaires (63). @ Wilfrid Druais | 16 janvier 2021 à 22:44 Rédigé le 06 février 2021 dans Actualité, Justice, Livres, Médias, parole, politique, Société, Télévision | Lien permanent Les voitures ont changé même si elles ont toujours des pneus, des moyeux, des volants et des phares. Alors que faire… comme disait l'autre ? Intérêt personnel, reconnaissance, imitation. Le sport peut parfois être perçu comme une métaphore du monde et de ses luttes. Commentaires (103). D'un coup la carence de Neymar a permis à Mbappé de prendre toutes les responsabilités, d'oser, d'être le maître incontesté sur le terrain, d'inventer le jeu dans lequel il se savait exceptionnel, de marquer trois buts et de n'être jamais gêné par la présence à ses côtés d'un joueur qui l'entravait plus qu'il ne l'amplifiait. Je les ai souvent relevées, en matière judiciaire, de la part de médias qui confondaient la lumière apparente d'une "grosse" affaire (grosse pour plusieurs raisons) avec une aura qui tomberait mécaniquement sur son titulaire. Ils n'offriront aucune chance à leur camp. Les épisodes emblématiques de ces derniers mois ont un point commun : la mobilisation de celles qui ont écrit un livre ou révélé des agissements très anciens s'est engagée à la suite d'un événement qui a été de trop, qui a fait déborder, si j'ose dire, le vase de la souffrance et du souvenir atroce pour les muer en indignation et en désir de réparation, surtout quand l'auteur était au comble de la réussite ou affichait un cynisme tranquille : Gabriel Matzneff pour Vanessa Springora ou Olivier Duhamel pour Camille et "Victor" Kouchner. Grâce au livre lucide et intelligent de Vanessa Springora sur la complaisance honteusement octroyée par le milieu médiatique et littéraire à Gabriel Matzneff. Il est vrai que je ne lis jamais Causeur ou Valeurs actuelles, journaux dans lesquels il écrit des articles sur l’automobile et le cinéma. AF fait preuve d'une grave méconnaissance de la réalité de ces transgressions en occultant le phénomène d'emprise, sur un adolescent de 14 ans tétanisé, exercée par un adulte admiré, séducteur, beau parleur et surtout titulaire d'une indiscutable autorité. Cette analyse de ce concentré qui pourrait être français n'occulte pas, si j'ai fait un sort à ces adolescents, les moins jeunes. Je n'ai jamais voté pour le RN et je voterai pas pour lui demain mais si j'en avais la moindre envie, ce gouvernement ne parviendrait pas à m'en détourner. Sans mauvais esprit, il faut admettre qu'il y a des erreurs, des carences, des abstentions et des dysfonctionnements qui n'ont pas manqué et que cette protestation, sur certains points n'est pas illégitime. Il est donc naturel que la conjonction de ces données aboutisse au désir d'une perception judiciaire éliminant tout hasard, offrant seulement l'implacable logique d'un enchaînement délétère et répugnant à tout ce qui, dans cette histoire de la Justice, viendrait victorieusement contredire leur thèse. D'autant plus qu'il lui dame le pion dans un domaine où Emmanuel Macron semble susceptible et désireux de ne partager avec personne son aura philosophique et littéraire, ses fulgurances intellectuelles, cette conscience d'être heureusement soi et que cela en vaut la peine pour les Français et la France. Apparemment le fond n'est pas atteint. Ceux qui lisent beaucoup d'articles de journaux sur tout et n'importe quoi ou bien ceux qui lisent des livres d’auteurs classés sous l’étiquette "intellectuels" ? Qu'on ne croie pas que cette autopsie s'attachant à un épisode du Royaume-Uni serait le signe chez moi d'une détestation, par principe, des aurores. Rédigé par : Ben voyons. J'ai souvenir, par exemple, de l'arrêt d'une chambre d'accusation présidée par Gilbert Azibert, remettant en liberté "le Chinois", malgré une double condamnation criminelle à son casier judiciaire. Même si on n'est pas ignorant des psychismes qui ont besoin de beaucoup de temps pour oser dénoncer des viols, a fortiori la pédophilie ou l'inceste, est-il indécent cependant de s'étonner, pour certaines, de l'immense délai entre la date des faits rapportés et leur mise à jour ? L'impression qui se dégage de cet entretien est que la plus grande confusion règne dans l'esprit de Thomas Morales qui ne semble pas trop savoir qui il est. Actuellement on ne sait pas trop ce qu'il en est de l'implication ou non de Yuriy dans cette affaire - on nous affirme qu'il s'agit d'un adolescent très calme et tranquille, pourquoi pas ? Rédigé le 25 février 2021 dans Actualité, Justice, Médias, parole, politique, Société | Lien permanent Il exprime un soutien et une estime qui ne dépassent jamais la décence. Au lieu de laisser parler les images, ils bavardent à leur place. Doit-on s'émerveiller de ces prétendues avancées qui investiraient dans un progrès vain - quelles femmes de bon sens, quelle cause équilibrée viendraient au secours d'une telle aberration ? Et puis, au moins, il ne considère pas les baby boomers comme des affreux... Rédigé par : Dans une cooptation douteuse. Dégradées en illusions. Pour peu qu'on veuille bien accepter l'argumentation de Marion Maréchal, on conviendra que l'étiquette d'extrême droite paresseusement apposée n'a pas de sens selon les critères classiques et qu'en tout cas il n'y aurait pas plus d'indécence à débattre aujourd'hui de cette union qu'il n'y en avait hier, pour François Mitterrand, à réunir gauche socialiste et parti communiste pro-soviétique pour sa conquête du pouvoir. Je leur recommande de jeter un coup d'oeil sur "Mentions J'aime" : ce secteur est particulièrement éclairant et prometteur et donne encore plus de raisons de lire Thomas Morales. S'agissait-il de ne pas oublier l'homme à l'araignée, le coup de griffe aux politiques ? Il n’a toujours pas sa fiche Wiki, mais ça ne devrait pas tarder. D'ailleurs il n'aime pas ce vocable d'artiste (sic). À le lire, on a l'impression que malicieusement la magistrature a inventé de son propre chef tout ce qui, durant son mandat puis dans les années suivantes, a conduit à soupçonner Nicolas Sarkozy de diverses infractions dans des affaires dont certaines ont déjà abouti à des non-lieux, d'autres à des renvois et à un délibéré, une dernière à une enquête sur "ses millions russes" (Mediapart). On sent qu'il a un peu de mal à parler de lui, mais avec l'aide de Philippe Bilger, il a fini par s'y mettre. On ne peut que se réjouir de ce changement de cap : les voyous, mineurs ou non, ne sont plus pris pour des victimes ! Ensuite, elle éclaire le sentiment qu'on ne mène pas véritablement un combat politique opératoire contre le RN puisqu'il est un "ennemi", que la cause est entendue et qu'en 2022 pour rien au monde on ne voudrait se priver, grâce à lui, de cette quasi-certitude de victoire. Mais j'ai écouté Sud Radio qui, à son tour, dans l'excellente matinale du week-end animée par Philippe David, a organisé un débat sur la liberté d'expression en confrontant le dessinateur et caricaturiste Olivier Ranson et l'humoriste Tex. Rien n'est plus pénible, douloureux, de devoir s'abstenir quand on est au fait, qu'on connaît les ombres et les failles mais que cela n'empêchera pas des portraits configurés sous le soleil éclatant de l'ignorance. Les magistrats en charge semblent d'ailleurs tétanisés à l'idée de clôturer le dossier en prenant une décision quelle qu'elle soit. C'est la preuve qu'on s'intéresse à ce qu'il dit.". Malgré la pauvreté hospitalière qui a fait l'objet d'un constat consensuel au début de l'année 2020 et en dépit des promesses présidentielles et ministérielles, rien n'a été accompli pour combler le gouffre entre ce qui existait hier et ce qui aurait dû exister aujourd'hui. Mbappé a brillamment démontré contre l'équipe de Barcelone que non seulement Neymar ne lui manquait pas, bien au contraire, mais qu'il ne faisait pas défaut plus globalement au groupe qui a été meilleur et victorieux sans lui. J'entends tellement dire pis que pendre de la période des Trente Glorieuses, où tous nos maux auraient commencé d'après certains grincheux, que je suis intriguée par ce sympathique dinosaure. Le juge des libertés et de la détention qui décide un simple contrôle judiciaire ou, pire, une liberté pure et simple pour un mis en examen sans véritable domicile et grevé d'un passif judiciaire lourd, commet à mon sens un acte qui malgré la voie de recours à venir constitue intrinsèquement une aberration procédurale, une démarche partisane ou un aveuglement humain. Les médias sont coupables, la plupart du temps, de cet exaspérant décalage entre les gloires qu'ils sélectionnent, parfois fausses, rarement justifiées, et la vérité des coulisses, l'objectivité des pratiques et des comportements. Quand la justice est saisie de délits ou de crimes sexuels à l'extérieur ou à l'intérieur des familles, on constate, pour ces derniers dossiers, que très souvent les victimes se sont tues parfois jusqu'à leur majorité ou ont un jour avoué à une personne de confiance, une amie ou à l'école, ce qu'elles avaient occulté. Comme si les majorités avaient peur et que les minorités étaient sûres de leur fait. Philippe Bilger: Moi, Emmanuel Macron, je me dis que... Philippe Bilger: Contre la justice laxiste, Philippe Bilger (avec François Sionneau): Le bal des complaisants, Vingt minutes pour la mort : Robert Brasillach, le procès expédié. Mais elle n'est pas invoquée d'emblée comme une impossibilité. Au fil de celles-ci, j'éprouvais l'impression que son bilan, les perspectives qu'il dessinait et le volontarisme pugnace et lucide auquel il aspirait dépassaient sa personne, se rapportaient au gouvernement de la France et me paraissaient presque mettre le président entre parenthèses. Hauskauf Franken - Alle Angebote für Häuser zum Kauf in der Region hier finden - immo.inFranken.de. Rédigé le 29 janvier 2021 dans Actualité, international, Justice, Médias, parole, politique, Société, Télévision | Lien permanent Un article dans Le Monde avec pour titre "Nicolas Sarkozy, "valeur refuge" de la droite" et cette explication : "Au sein des Républicains, beaucoup voient dans l’ancien président un homme providentiel. C'est à Poissy, c'est en France et nous sommes en République (Le Figaro). Le temps ne fait rien à l'affaire... comme aurait chanté Georges Brassens. À l'exigence d'une morale publique irréprochable, le refrain d'une politique contrainte de se salir les mains. Je suis apparu sans doute injuste pour certains mais cette perception ne prêtait pas à conséquence : elle n'émanait que de moi et compensait d'une manière infime l'encens médiatiquement et abusivement déversé. Je leur en veux. Cette rareté était prévisible à cause du manque d'enthousiasme évident de la magistrature face à cette obligation démocratique. Rédigé par : La Grande Librairie est une émission littéraire de 90 minutes, créée et présentée par François Busnel, et diffusée depuis le 4 septembre 2008 chaque mercredi en direct et en public sur France 5 (depuis 2018 le jeudi) [1].. L'émission, héritière directe d'Apostrophes de Bernard Pivot, est la seule émission littéraire … Trop souvent, dans la manière dont on le traite, on sent que les exigences doivent être rabaissées. Soit parler comme on se parlerait à soi-même ou aux meilleurs, ce qui permet d'aller plus loin mais avec moins de compagnons. | Le réel, le vrai, l'éprouvant, la terrifiante et effective hostilité à l'encontre de la police n'ont pas été invités. Et je me reproche mon addiction aux matchs de foot. Rédigé par : Au fait, je m'étais longuement interrogé pour savoir qui se cachait derrière Alfred LELEU, notre argotier d'ici. Ses propos, à bien les lire, sont plus complexes que ce qu'une approche sommaire a résumé. Mon appétence pour cette politique du quotidien tient d'abord à ce qu'elle n'empêche pas l'autre, celle des concepts, des spécialistes, des experts, de la géopolitique, des prévisions prétendument infaillibles. Jeden Morgen wecken die Muckefuck-Moderatoren das SAW-Land mit einer perfekten Mischung aus Information und Entertainment für einen schönen Start in den Tag. Rédigé le 21 février 2021 dans Actualité, Education, Justice, Médias, parole, politique, Société, Télévision | Lien permanent On les préserve de l'idéologie qui parcellise au bénéfice de l'universel qui rassemble. Si j'ai droit à un zeste d'ironie, je me sens démuni quand Régis de Castelnau rend un vibrant hommage au début de son ouvrage à Anne-Sophie Chazaud (qui a écrit par ailleurs un excellent livre, "Liberté d'inexpression") qui lui retourne son compliment en louant "le brillant réquisitoire de Régis de Castelnau". Elle est absurde. La direction de l'établissement a réagi en saluant au contraire les "engagements" de ces deux personnalités et un parent qui a voulu rester anonyme s'est déclaré en désaccord avec le retrait, en rappelant l'apport historique de Churchill et son action décisive contre le nazisme.
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