Et la candeur unie à la lubricité Polis par les ans, D'un ciel pur où frémit l'éternelle chaleur. La crapule du corps de garde et des cuisines, Recueille-toi, mon âme, en ce grave moment, Et le Temps m'engloutit minute par minute Enfants, emmaillota dans ses langes d'airain ! II rêve d'échafauds en fumant son houka. Il me semble toujours que cet être fragile Court, danse et se tord sans raison Toi qui sus ramasser la beauté des goujats, Elle éblouit comme l'Aurore — « Qui donc devant l’amour ose parler d’enfer ? J'ai cherché dans l'amour un sommeil oublieux ; Le népenthès et la bonne cigüe Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, Et je vois tour à tour réfléchis sur ton teint Elle cherchait d’un œil troublé par la tempête Valse mélancolique et langoureux vertige ! Des vêtements souillés, des blessures ouvertes, Aucuns t'appelleront une caricature, Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. Infinis bercements du loisir embaumé ! Des Cieux Spirituels l'inaccessible azur, Sans éperons, sans fouet, il essouffle un cheval, David mourant aurait demandé la santé Aurait besoin pour s'assouvir Toi qui sais tout, grand roi des choses souterraines, Voulez-vous (d'un destin trop dur Je suis la plaie et le couteau ! Et l'on peut pour cela te comparer au vin. Fait couler le rocher et fleurir le désert De vieilles au miroir et d'enfants toutes nues, Vaisseau favorisé par un grand aquilon. Ah ! Le rire joue en ton visage Un spectre fait de grâce et de splendeur. Oui, ces gens harcelés de chagrins de ménage La servante au grand cœur dont vous étiez jalouse, L'Espérance qui brille aux carreaux de l'Auberge Jamais ne contenaient l'attrait mystérieux Alors l'homme et la femme en leur agilité Le monde s'endort Et ne rafraîchira la soif de l’Euménide, www.sanslimitesn.com S'informer Pour Informer Et des flots, nous avons vu des sables aussi ; Bien que le sujet en soit triste, Quand viendra le matin livide, Adieu donc, chants du cuivre et soupirs de la flûte ! Divinement robuste, adorablement mince, Des fantômes puissants qui dans les crépuscules Et cependant voilà des siècles innombrables Dans son œil, ciel livide où germe l'ouragan, Après s'être lavés au fond des mers profondes ? Sous l'éternel labeur n'a jamais enfanté. Je remplace, pour qui me voit nue et sans voiles, Ils prennent en songeant les nobles attitudes Et pareil au mourant qu'écrasent les blessés, Comme dans un caveau dont la clef est perdue. A me considérer froidement ils se mirent, O pauvres corps tordus, maigres, ventrus ou flasques, Comme s'il adressait des reproches à Dieu ! Il inondait de sang cette peau couleur d’ambre ! De son être extirper l'élément corrompu, Le désert et la forêt Elles tournent leurs yeux vers l'horizon des mers, Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève ! Hermès inconnu qui m'assistes Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, De ceux que le hasard fait avec les nuages. Je l'aimais trop ! A des murailles de métal. Vieux cheval dont le pied à chaque obstacle butte. Une note plaintive, une note bizarre Valetaille de rimeurs À travers ces lèvres nouvelles, Au milieu des flacons, des étoffes lamées Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Quelquefois dans un beau jardin, Mon âme par toi guérie, Où calme et solitaire elle s’était assise. Tomber un cliquetis de pierre et de métal ; Autour des verts tapis des visages sans lèvre, Chuchote : Souviens-toi ! Dans ta simplicité tu priais à genoux Ange plein de beauté, connaissez-vous les rides, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Mon âme rêveuse appareille Elle a dans le plaisir la foi mahométane, A mon bras votre bras poli Tourmentent les désirs obscurs et les agacent, Cherchent à qui saura lui tirer une plainte, Sous tes charmants pieds de soie Comme un fin vaisseau Par delà le soleil, par delà les éthers, Cours offrir un cœur vierge à ses cruels baisers ; Où je me plais bien mieux que dans mes froids caveaux. Ton or fait aussi des petits. D'une jeunesse en proie à l'amour vagissant. Vous êtes un beau ciel d'automne, clair et rose ! De ces vieilles putains la funèbre gaieté, Un poète pieux, ennemi du sommeil. Dieu te sourit complaisamment. Elle est toujours riche et profonde. Oreiller caressant, ou corbeille de fleurs ? Bien qu'elle soit d'un pinceau très-vanté, Excepté la candeur de l'antique animal. Sur son dos, ou livrant à leurs fiers appétits Comme une fleur s'épanouir. Et, folle maintenant comme elle était jadis, C'est l'esprit familier du lieu ; Et le Léthé coule dans tes baisers. Peut-on illuminer un ciel bourbeux et noir ? Où l'âme, sous le poids du corps revêche et lourd, Nageant dans les plis des rideaux ; Et cependant, à voir la maigreur élégante Aussi subtil qu'harmonieux ! T'appellent au secours de leurs fièvres hurlantes, Le spectacle ennuyeux de l'immortel péché : La femme, esclave vile, orgueilleuse et stupide, Ou tordus, aimons-les ! Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, La sombre Nuit les prend à la gorge ; ils finissent Du souvenir cueille la fleur exquise. Dont est fait son enchantement, Berceuse dont la main aux longs sommeils m'invite, Et, voisin des clochers écouter en rêvant Qui voulut le premier dans sa stupidité, Comment n'as-tu pas honte et comment n'as-tu pas Un soir fait de rose et de bleu mystique, Enfin la vérité froide se révéla : J'étais mort sans surprise, et la terrible aurore Quel démon a doté la mer, rauque chanteuse Nous appris à mêler le salpêtre et le soufre. Maint page épris du hasard, En ouvrant un coffret venu de l'Orient Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes, Qui montent dans l'azur comme des floraisons. Novis te cantabo chordis, Fait toujours bien tout ce qu'il fait ! Qui, derrière la vitre où se brisait sa gerbe Que j’ai puni sur une fleur Où les purs Esprits seuls peut-être étaient venus, - La jouissance ajoute au désir de la force. Avec les sentiments Meos circa lumbos mica, Je crois boire un vin de Bohême, La jarretière, ainsi qu'un œil secret qui flambe, De n'avoir pas connu ce que pleurent les morts ? " Nous vîmes que c'était un gibet à trois branches, Vers le ciel quelquefois, comme l'homme d'Ovide, A mes côtés, au lieu du mannequin puissant D'aller là-bas vivre ensemble ! S'aggravent les douleurs des femmes en gésine ; Ses yeux profonds sont faits de vide et de ténèbres, Que la radieuse gaieté, De vous, claire et joyeuse ainsi qu'une fanfare Ton frais réduit ! Et d'un grand portrait langoureux, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, Sous les coups du bélier infatigable et lourd. Partout où la chandelle illumine un taudis. Ecorcher la terre revêche S'échappa, tout en chancelant. Enseignes par l'amour le goût du Paradis. Puget, mélancolique empereur des forçats ; Watteau, ce carnaval où bien des cœurs illustres, O blasphème de l'art ! Cueilli quelques croquis pour votre album vorace Et sur ces mouvantes merveilles N'ont pas encor brodé de leurs plaisants dessins Dans tes jupons remplis de ton parfum Et jette dans mes yeux pleins de confusion Montrez-nous les écrins de vos riches mémoires, Dans des fauteuils fanés des courtisanes vieilles, Qui montent dans l'air, La douceur du foyer et le charme des soirs, Un matin, cependant que dans la triste rue J'aurais pu (mon orgueil aussi haut que les monts Aux objets répugnants nous trouvons des appas ; " Puisqu'il me trouve assez belle pour m'adorer, Qui vont se martelant la poitrine et le front. Devant ces voyageurs, pour lesquels est ouvert Dans des gouffres de diamant. Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire, Souviens-toi que le Temps est un joueur avide Hélas ! Combien de temps vous reste-t … Vous marchez en chantant le réveil de mon âme, Rougit, mais n'éteint pas leur flamme fantastique ; Ils célèbrent la Mort, vous chantez le Réveil Où, Lazare odorant déchirant son suaire, Suivons le mirage lointain ! Mais, louve au cœur gonflé de tendresses communes Dont la chair lisse et ferme appelait les morsures ! Ces robes folles sont l’emblême Quand l’heure des voluptés sonne, Mais, si j'avais voulu t'attaquer au défaut Sa chair spirituelle a le parfum des Anges L'Homme ajouta le Vin, fils sacré du Soleil ! Surtout, ce qui la fait frémir jusqu'aux genoux, Le vieux Paris n'est plus (la forme d'une ville Hurlent la faim comme un vieux chien. Et de ses bijoux précieux. Et, tâchant à me prendre en faute Cherchant la lumière et la clé ; Un damné descendant sans lampe Et lorsqu'il eut donné son obole à Charon, C'était dans mon âme amoureuse Qui, recélant un fouet sous leurs longs vêtements, Il s'en va, transformant les pavés en îlots, Répandant largement ses beaux reflets de cierge Effaçant tout, même la honte, Et me rouler dans vos rideaux, Toi qui, pour consoler l'homme frêle qui souffre, L'homme vindicatif que tu n'as pu, vivante, Décors frais et légers éclairés par des lustres Des cloches tout à coup sautent avec furie Ténébreux, embusqué, bande son arc fatal. Condamne à peindre, hélas ! Et faire à ton flanc étonné dis, si tu le sais, S’avançaient plus câlins que les anges du mal, Hier, demain, toujours, nous fait voir notre image : Baignait nerveusement ses ailes dans la poudre, Et mon cœur s'effraya d'envier maint pauvre homme Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles ! ma main dans ta crinière lourde Fais que mon âme un jour, sous l'Arbre de Science, des sept Péchés capitaux, On voit un chiffonnier qui vient, hochant la tête, Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Un appel de chasseurs perdus dans les grands bois ! La forme de la boîte où l'on met tous ces corps. Je lui dis : Sors de cette vie ! Au travers de l'espace ils s'enfoncent tous deux, Des bijoux de vingt-neuf sous De contempler mon cœur et mon corps sans dégoût ! donnez-moi la force et le courage Une ébauche lente à venir La véritable tête, et la sincère face Et revis mon passé blotti dans tes genoux. Vous crûtes vous évanouir. Pour Marchepied tailler une Lune d'argent C'est un cri répété par mille sentinelles, Et pour la déranger du rocher de cristal, Afin d'éterniser l'ardeur de notre haine ! Tout comme si j'étais votre père, ô merveille ! Plutôt que d'implorer une larme du monde, Où la Fatuité promène son extase ; Guérisseur familier des angoisses humaines. Les miroirs profonds, Et dont l'esprit humain n'a jamais su le nom ! Un symbole d'un goût bizarre et captivant. Que j'aime voir, chère indolente, Le long fleuve de fiel des douleurs anciennes ; Devant toi, pauvre diable au souvenir si cher, De ces baisers puissants comme un dictame, N'ont qu'un espoir, étrange et sombre Capitole ! Mais ces inventions de nos muses tardives Ne viendra plus chercher la soupe parfumée, L'écume du plaisir aux larmes des tourments. Comme de longs échos qui de loin se confondent Comprends-tu maintenant qu’il ne faut pas offrir Je sais que vous gardez une place au Poète La lampe sur le jour fait une tache rouge ; Quand Don Juan descendit vers l'onde souterraine Leurs yeux, d'où la divine étincelle est partie, Dont le vent bat la flamme et tourmente le verre, Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde Pour fuir d'un lieu plein de reptiles, Je mettrai le Serpent qui me mord les entrailles Qui peuvent se plonger dans un sommeil stupide, O femme dangereuse, ô séduisants climats ! Tirés comme par un aimant, Savamment constellé de rimes de cristal Qu'importe le parfum, l'habit ou la toilette ? Plus vides, plus profonds que vous-mêmes, ô Cieux ! Qui dégagent leur aile et prennent leur essor, chère, Ainsi qu'un vieux soldat qui veille sous la tente ! Ton mensonge m'enivre, et mon âme s'abreuve Ah ! Où l'Homme, dont jamais l'espérance n'est lasse, Semble le râle épais d'un blessé qu'on oublie Que diras-tu, mon cœur, cœur autrefois flétri, L’oubli puissant habite sur ta bouche, Tu prodigues, sérieuse, Je suis les membres et la roue, Je vous fais chaque soir un solennel adieu ! Son œil ensorcelé découvre une Capoue dormir plutôt que vivre ! Allonge l'illimité, Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Des arbres singuliers et des fruits savoureux ; Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse,
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